Aujourd’hui, j’ai fait la rencontre du talentueux photographe Charly Ho, et répondu aux questions de la journaliste Hieu Constant. C’est avec beaucoup d’humilité que je me suis prêtée à cet exercice.
Charly Ho est un photographe autodidacte : « depuis l’enfance où la photographie m’interpellait par leurs couleurs, jusqu’aujourd’hui où elle entre dans ma vie comme une vision qui s’accroche à chaque instant de ma vie ; la photographie, c’est aussi mon histoire. Ma photographie, c’est aussi celles qui me touchent, celles qu’on partage sans pudeur ». L’appareil photo est pour Charly HO un crayon qui lui permet d’exprimer à travers son point de vue les choses et les événements qui ont croisé son chemin. Il réalise une série de « demi » portraits après deux ans de réflexion sur la perception. Son but, en photographiant la moitié du visage seulement, est de marquer par cette photo un instant T dans la vie des personnes qu’il photographie. L’autre moitié, qui n’est pas photographiée, représente tout le chemin parcouru par ces personnes que l’on ne connait pas forcément et sur laquelle il faut s’interroger. Il s’agit d’un jeu subtil entre ce qui est visible et ce qui ne l’est pas. L’artiste nous invite à nous poser la question de ce qu’il y a derrière ses demi-visages.
Il a insisté sur l’importance de montrer aux jeunes des modèles inspirants dans tous les domaines d’activités, afin qu’ils puissent s’identifier et savoir qu’ils peuvent tout faire avec du travail, de la persévérance et de la motivation.
Je suis fière de représenter la France et sa diversité en politique.