Depuis 2017 : des avancées écologiques concrètes, efficaces et socialement justes !
Depuis 2017, nous avons pris à bras le corps les grands défis climatiques. Jamais nous ne nous sommes dérobés, y compris face à des dossiers complexes qui étaient au point mort depuis des années ou des décennies parfois.
Une formidable dynamique s'est enclenchée avec le verdissement du parc automobile qui a vu la part de marché des véhicules électriques tripler en 2020. Le succès que rencontrent plusieurs de nos dispositifs y contribue très fortement. On peut citer les 117 000 bonus pour véhicules électriques ou les 825 000 primes à la conversion qui ont été versées.
Nous déployons en parallèle notre plan pour l'accroissement des infrastructures de recharge pour que les Français évidemment qui s'équipent d'un véhicule électrique puissent bénéficier d'infrastructures de recharge qui sont adaptées.
Parce que l'écologie est une préoccupation pour l'avenir de la planète, mais aussi une préoccupation immédiate pour la santé de nos concitoyens, nous développons des zones à faible émission mobilité dans plusieurs grandes métropoles. Ces zones s'appliquent notamment dans les villes exposées à des dépassements qui dégradent fréquemment la qualité de l'air. Cette pollution est à l'origine de plusieurs dizaines de milliers de décès chaque année. Le projet de loi climat et résilience prévoit donc la sortie progressive des véhicules les plus polluants du centre de ces métropoles et un élargissement du périmètre des villes concernées.
Mais nous refusons évidemment l'écologie punitive. Nous refusons un changement qui, parce que trop brutal, se ferait sans accompagnement. Aussi les ménages concernés pourront bénéficier d'une surprime à la conversion de 1 000 euros.
Nous luttons également contre l'artificialisation des sols avec un appel à projets lancé dans le cadre de France Relance et désormais doté d'une enveloppe de 650 millions d'euros.
Nous protégeons enfin nos espaces naturels puisque nous avons créé six réserves nationales en 2020 et 2021 et que nous prévoyons de passer de 24 % à 30 % de nos espaces sous statut protégé d'ici 2022.